ATMO, l’observatoire de la qualité de l’air en Auvergne Rhône-Alpes, présentait lundi dernier son bilan de l’année 2019. Si certains indicateurs sont au vert, la pollution à l’ozone a fortement progressé et inquiète.
Si, globalement, la qualité de l’air s’améliore dans la région, certains indicateurs sont inquiétants.
Alors que 2,66 millions d’Auvergnats et de Rhônalpins avaient été exposés en 2018 à l’ozone au-delà du seuil réglementaire, ils ont été 4,34 millions en 2019. Soit la moitié de la population de la région.