La qualité de l’air est un facteur important à prendre en compte au bureau. Elle a un impact direct sur la productivité, la concentration et le bien-être des collaborateurs. On vous en dit plus.
Que trouve-t-on dans l’air ?
Contrairement aux idées reçues, l’air intérieur est de 5 à 10 fois plus sujet à la pollution que l’air extérieur notamment au bureau. Etonnant, n’est-ce pas ?
Ce n’est pas si étonnant que ça quand on y pense ! L’air intérieur est, par nature, beaucoup moins renouvelé que l’air extérieur. Une aération naturelle au moins 3 fois par jour d’environ 15 minutes est essentielle pour maintenir une qualité de l’air acceptable.
La qualité de l’air à l’intérieur est souvent médiocre voire mauvaise, ce qui est dû le plus souvent à la présence importante de polluants comme :
- des allergènes,
- des bactéries et des virus,
- de la poussière,
- des particules fines,
- des Cov,
- des odeurs,
Ces polluants et autres particules peuvent avoir un impact important sur le bien-être et la santé. D’où la nécessité de faire un diagnostic de l’air pour évaluer la qualité de l’air et ainsi y apporter des solutions adaptées.
Qualité de l’air : un enjeu de santé publique au bureau
La qualité de l’air a des conséquences majeures sur la santé et le bien-être des individus notamment au bureau et est donc très vite devenu un enjeu de santé publique.
Une mauvaise qualité de l’air implique de nombreux maux comme de la fatigue, une baisse de concentration et de productivité, un état de malaise général voire de l’absentéisme qui coûte cher aux entreprises.
La difficulté de concentration est un symptôme très fréquent notamment au bureau où les collaborateurs connaissent une baisse de productivité.
La concentration au bureau, la première victime d’une mauvaise qualité de l’air
La concentration des employés et autres collaborateurs est la première victime d’une mauvaise qualité de l’air selon les résultats d’une étude menée dans 6 pays (Royaume-Uni, Etats-Unis, Chine, Inde, Thaïlande et Mexique ) par des scientifiques de l’Université d’Harvard.
Des tests de calcul et de logique ont été menés et les résultats parlent d’eux-mêmes : une mauvaise qualité de l’air via l’augmentation du taux de particules fines mais aussi de Co2 dans l’air allonge le temps de réponse.
La concentration et la production se trouvent alors altérées plus ou moins fortement selon les individus et la qualité de l’air ambiant.
Ces effets à court terme immédiatement ressentis par les collaborateurs peuvent aussi s’installer dans le temps avec des maladies pouvant altérer le système nerveux et le système cardio-vasculaire.
Les purificateurs d’air et les capteurs de Co2, alliés de taille pour une bonne qualité de l’air
La qualité de l’air peut être considérablement améliorée grâce à l’alliance de l’aération naturelle, des purificateurs d’air et des capteurs de Co2.
Les purificateurs d’air sont des dispositifs de purification et d’assainissement de l’air qui filtrent les particules présentes dans l’air ambiant. Plus de 99% des particules sont ainsi filtrées, vous retrouvez un air sain et dénué de polluants grâce à leurs divers filtres comme le préfiltre, le filtre au charbon actif et le filtre HEPA recommandé par l’INRS.
Les capteurs de Co2 quant à eux, évaluent le taux de Co2 présent dans l’air ambiant qui est un très bon indicateur du moment où il est nécessaire d’aérer. Un taux de Co2 trop élevé peut avoir un impact négatif sur la concentration mais peut aussi être un indicateur de la présence probable du virus du Covid-19 excrété par les individus symptomatiques ou asymptomatiques.
Equipez vos bureaux pour allier productivité, santé et enfin respirer un air de qualité !