Les particules fines sont la cause de diverses maladies et pathologies dont un taux de mortalité plus important, des maladies respiratoires et cardiovasculaires mais aussi des conséquences graves sur la grossesse et sur la formation du fœtus.
L’OMS recommande de ne pas dépasser en moyenne annuelle 10 microgrammes/m3 pour les particules fines et 40 microgrammes /m3 pour le dioxyde d’azote.
Réduire la pollution atmosphérique permettrait selon le journal du Lancet de sauver plus de 50 000 vies.
Plus de 80% de la population urbaine mondiale est exposée à des niveaux supérieurs de particules fines et de dioxyde d’azote que ceux préconisés par l’OMS.